Résumé:
Le vingtième siècle a été sans conteste celui de l’urbanisation, les villes contemporaines subissent une forte croissance urbaine marquée un désordre urbain suite à de nombreuses transformations de la forme urbaine. Ces villes connaissent une modification
profonde des structures urbaines qui ne tiennent plus compte du développement durable ou même de l’environnement social.
L’étalement urbain a entraîné une dévitalisation des centres villes, à l’opposé, le
mouvement qui anime les villes depuis une dizaine d’années correspond à une densification de la ville et à une concentration des activités et des hommes.
Face à ce constat, le renouvellement urbain est venu pour redynamiser les centres
villes et requalifier les espaces en déshérence situés à proximité de ces centres. La
régénération urbaine, que nous avons traité est un concept qui a le même contexte que celui du renouvellement urbain, la différence est marquée par son approche physique et
temporelle.
C’est devant le constat amer d’une dégradation flagrante des centres anciens sans
politique urbaine officielle pour palier à ce phénomène que nous sommes intéressées à la
problématique de la régénération urbaine des centres historiques par deux notions
importantes : la société et la durabilité, à travers le cas d’étude du quartier l’Oasis de Jijel ;
l’objectif de ce travail est de comprendre les mécanismes socio-durables qui structurent la
régénération urbaine et leurs importance pour la reconquête des centres historiques ; ainsi que, les mécanismes et l’importance de la socio-durabilité dans la régénération urbaine.
D’un autre côté, d’analyser et étudier l’ensemble des notions de la socio-durabilité sur notre cas d’étude afin de comprendre leurs portées et l’importance de ces notions dans le processus de régénération urbaine.
