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dc.contributor.author |
Boussadi, Ilhem |
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dc.contributor.author |
Boubakour, Farès (encadreur) |
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dc.date.accessioned |
2020-12-03T12:28:55Z |
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dc.date.available |
2020-12-03T12:28:55Z |
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dc.date.issued |
2019 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-jijel.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4147 |
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dc.description.abstract |
La pollution, le bruit, les accidents de la circulation, la congestion, et les effets de coupures. Telles sont les conséquences négatives engendrées par les moyens de transport. Le secteur de transport, et principalement le transport routier, est considéré comme le premier consommateur de l’énergie fossile, de l’espace urbain et le plus polluant.Ces nuisances causées par les transports peuvent avoir plusieurs impacts sur la santé humaine et l’environnement naturel, auxquels sont associés des coûts importants pour la société dans son ensemble. Ces différents coûts sociaux sont le plus souvent supportés non pas par ceux qui les occasionnent, mais par des tiers. Ce travail fait le point sur les effets externes du transport urbain en Algérie. Il cherche à comprendre ce qu'ils sont et comment les évaluer et les internalisme dans les calculs des agents économiques. Il s’agit enfin de limiter les impacts environnementaux et sociaux du transport urbain en continuant à favoriser la mobilité. Autrement dit, on veut diminuer les effets externes négatifs de l'augmentation du trafic routier et non pas diminuer le trafic et ses effets positifs. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.subject |
Transport urbain, externalités négatives, environnement, coût social, développement durable, tarification urbaine. |
fr_FR |
dc.title |
Transport urbain et économies externes négatives : quelle stratégie nationale pour L’Algérie ? |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
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