Abstract:
«Pour être heureux, il faut d'abord être : c'est-à-dire prendre conscience de son existence, approfondir les instants. On nous oblige à aller vite : le bonheur n'a pas le temps de pénétrer ; il reste à la surface, il n'imprègne pas ; il a besoin de zones de stagnation pour se condenser doucement. Savoir s'asseoir sur le pas de sa porte et savourer sans hâte...» Jean Onimus.
Les villes, partout dans le monde, se déclarent aujourd’hui favorable à une grande majorité, à une politique de développement durable. La démarche de développement durable devient quasiment incontournable dans la politique et la stratégie territoriale de tous les pays.
Le changement climatique, la rationalisation de l’utilisation des énergies, la nécessité d’économiser les sols et de préserver l’agriculture, la crise financière, le développement durable, les besoins des personnes,... font évoluer les pratiques. Un projet d’habitat durable doit prendre en compte ces évolutions, intègre des dimensions plus transversales.
Les modes de vie durables passent par un radical changement des comportements et une collaboration entre les individus et les communautés. Ils supposent également le développement d’infrastructures de remplacement, des solutions concrètes réalistes respectueuses des réalités socioculturelles et des messages efficaces les appuyant.
Les différentes questions qui se sont posées afin d’établir des catégories sont essentielles car elles permettent de proposer une transformation possible du logement à une problématique donnée, elles viennent de présenter les différentes solutions pour transformer le logement afin de s’adapter aux évolutions des modes de vies.
Les modes de vies ne sont plus la préoccupation principale des concepteurs, économie, écologie, technologies et industries sont désormais les moteurs de la construction de logement. Pour permettre au logement d’être en phase avec les modes de vies actuels et futurs, nous devons questionner les évolutions de modes de vies à venir afin de créer un logement adapté. Pour cela, nous croyons que la flexibilité est une réponse à ces évolutions possibles, car elle permet une liberté et ne restreint pas l’Homme à vivre dans des logements qui ne sont pas adapté à sa manière de vivre.
