Résumé:
Notre point de départ était le paradoxe entre le discours officiel de
l’Etat algérien qui impose l’usage exclusif et obligatoire de l’arabe
standard dans tous les secteurs et domaines, et la réalité linguistique de
l’Algérie qui indique l’existence de l’usage de la langue française,
particulièrement dans les administrations étatiques