Résumé:
Au cours de cette étude descriptive du calembour, qui fut passionnante,
car comme nous l’avions constat, réunit une variété de domaines de
recherches (linguistique, psychologie, littérature…etc.) qui semblent avoir
trouvé leur point de convergence. L’aspect humoristique de ce jeu de mots
(calembour) s’est montré au premier abord divertissant, pour un processus
de recherche qui s’est finalement avéré très complexe. C’est une « forme
ambigüe » qui présente plusieurs significations possibles (polysémie,
homophonie). Et c’est pour cette raison que les travaux sur lesquels nous
nous sommes appuyée ont été minimes. Le calembour ne se prêtant pas
toujours à des théories préétablies. Toutefois celle de pierre Guiraud sur
laquelle nous nous sommes reposée demeure la plus pertinente. Par ailleurs,
et indépendamment de la grande complexité de ce jeu de mot, il aurait été
dommage de ne pas rendre justice à la virtuosité de son auteur, qui est dans
notre cas le journaliste du Canard Enchainé, faisant de ce matériau sa
spécialité, et de la satire une stratégie argumentative à double tranchant.