Résumé:
Utiliser l'éclairage naturel pour valoriser les oeuvres exposées est aujourd'hui une
évidence. Cette approche implique une conception particulière car la plupart des oeuvres
risquent d'être dégradées par les rayons solaires. Dans un musée, la lumière naturelle peut être
un atout pour valoriser les oeuvres. Elle peut aussi représenter un danger. Pour l'architecte
Emmanuel N’ébout : « C'est un sujet essentiel car la lumière révèle les oeuvres et
l'architecture. Mais avec un impératif : le contrôle de ladite lumière. Car certaines oeuvres,
comme les tissus, les peintures ou les dessins ne la supportent pas. ».Donc il est nécessaire
quelles soient éclairées d’une manière artificielle.
« Il convient de faire en sorte que le distinguo entre lumière artificielle, relais
obligatoire lorsque la lumière du jour ne suffit plus, et lumière naturelle soit le plus discret
possible », renchérit Emmanuel Nebout. Ce qui implique souvent de faire disparaître la
source, artificielle ou naturelle, d'une manière ou d'une autre. L'une ou l'autre peuvent aussi
être utilisées en appui ou en complément.
Pour assurer l’éclairage artificiel d’appoint, il faut d’énergie, et comme le bâtiment est
l’un des grands Consommateurs d’énergie en Algérie. Cette forme d’énergie faisant largement
appel aux combustibles fossiles qui sont des ressources non renouvelables provoquant des
effets dévastateurs sur la nature (le réchauffement planétaire, les émissions de CO2…..) se qui
expriment la nécessité de réduire la consommation de ce type d’énergie et le recours aux
énergies propres respectueuse l’environnement.
Dans cette optique L’Algérie favorise une nouvelle approche en matière d’énergie, une
dynamique de l’énergie verte, elle lance un programme ambitieux d’efficacité énergétique et
de recours aux énergies renouvelables, Parmi ces énergies ; l’énergie solaire photovoltaïque.
Pour répondre aux objectifs de notre recherche et pouvoir tester la validité de nos hypothèses,
nous avons fait des études sur l’éclairage naturel et l’énergie photovoltaïque.